Nous avons fait cette rando dans le sens indiqué avec un détour d'environ 4 kms vers le nez de Boeuf puis la remontée le long de la rivière des remparts pour rejoindre le Textor avant de redescendre sur le Piton Argamasse. Le lac était bien en eau. La boue bien sûr était présente sur la descente comme d'habitude mais c'était acceptable. La végétation est un vrai support. Nous ne sommes même pas revenus si crottés. Cette boucle est variée et très belle. Nous aurions dû lire les commentaires, nous ne sommes pas allés aux grandes clairières. Merci pour l'info !

@Ousarsiph2. 450 mètres.... alors c'est encore assez loin du bras Caprice, non? Auriez vous une trace gpx ou kml ? Merci !

Nous avions choisi de commencer par le sentier pour, au retour, redescendre le long de la Rivière. Nous nous sommes laissés entrainer par notre élan et avons largement dépassé l'embranchement à droite, enfoui sous la végétation, qui permettait rejoindre la Rivière des Roches en haut de la randonnée. Nous avons donc décidé de poursuivre, le sentier étant bien visible (Photo 2 pas toujours comme ca ! probablement entretenu par le passage régulier de chasseurs de tangues) même si la végétation (canne fourragère, honda ?, goyaviers....) est souvent très présente jusqu'à 2 mètres de hauteur rendant la progression assez lente et régulièrement en mode courbé. Quelques arbres tombés, arrachés après Belal barrent le passage mais leur franchissement est relativement aisé (Photo 5). La forêt est magnifique, émaillée de ces grands arbres à tronc lisse qui ressemblent à du bois de sureau (quelqu'un peut-il confirmer/infirmer à partir de la photo N°3). Après environ 3 heures de marche, nous avons atteint la ravine Caprice sans jamais parvenir à rejoindre la Rivière des Roches par cette voie (Haut du tracé à partir de l'embranchement Randopitons - Photo 1). Le sentier continuait, très bien tracé et nous aurions aimé voir où il débouchait. Quelqu'un l'a-t-il exploré plus haut? Nous reviendrons en montant au plus près de la Rivière des Roches la prochaine fois ou en essayant une jonction avec les hauts de l'Abondance et la ravine Grand Bras... Le sentier emprunté, alors qu'il est bien dessiné, n'est pas présent sur les cartes (Maps.me, Garmin, IGN), étonnant, non? Je peux donner la trace gpx bien sûr. Le tour fait 15,3 kms, D+440, D-454. Nous avons mis 7 heures.
L'ABDESS, association de Saint-Benoît entretient et débroussaille. Pour l'instant, ils travaillent du côté du passage à gué sur la ravine Grand Bras.
Merci encore une fois Randopitons pour la trace initiale.

Très belle boucle dont nous avons assez aisément repéré le tracé grâce au gps. Les principales difficultés actuelles sont la première touffe de bambous tombée au sol peu après l'entrée sur le sentier Laverdure qu'il faut contourner par la gauche, la bifurcation à gauche vers les azalées (qui ne sont plus en fleurs) et quelques passages à plat ventre. La trace reste assez visible malgré sabres, longoses, azalées, bambous, goyaviers qui repoussent assez vite et prennent plaisir à nous dérouter. Un passage en particulier, avec des orchidées en fleurs après le Piton du Butor, est de toute beauté.
Le domaine de Beaubassin, ouvert à la visite, vaut la peine de revenir.
Nous avons décidé de commencer notre boucle dans le haut des Camélias, à la citerne; ce qui nous a permis de nous arrêter au belvédère de la cascade du Butor en début de journée. Nous avons eu de la chance, un habitué passait par là : nous étions parvenus au camion rouillé sans voir le départ du sentier. Le départ est finalement assez visible....quand on sait où le trouver ! 30 mètres après le passage de la petite ravine lorsque l'on vient du camion, après le virage, sur la gauche dans la butte.
Merci Randopitons pour cette chouette découverte des hauts de Saint-Denis.

Cette rando fait partie de mon top 10.
Nous l’avons faite en montée uniquement en 6 heures aller simple !! Les 1800 mètres de D+ sur 11 kms le méritaient bien…
Le temps était mitigé et nous n’avons rencontré le soleil qu'en arrivant sur la ravine de Grand Sable en sortie de végétation. Néanmoins, ce circuit reste de toute beauté.
A cause de la météo de la veille, nous n'avons pas pu compléter la boucle qui devait nous amener de la plaine des sables à Grand Coude via Cap Blanc et Tarzan, puis de Grand Coude au Morne Langevin.
Faire cette randonnée en montée reste assez sportif. Bravo à celles/ceux qui font l’aller-retour. On croise régulièrement quelques trailers qui avalent ce parcours en 5 heures!
Aucune difficulté technique et balisage excellent.

Si on aime la botanique, les fonds de ravine moussus et la solitude la plus totale (nous n’avons pas rencontré âme qui vive), cette randonnée est un régal.
Nous avons pris notre temps et l’avons réalisée en 5 heures. La trace est bien dessinée et nous avons assez peu eu à consulter le gps même si cette précaution est recommandée.
.Le seul bémol pour les inconditionnels des vues dégagées, c’est la quasi absence de points de vue. Un fond de ravine nous a permis d'accéder au rempart, pour le reste même le long du rempart, la végétation est si touffue et les sabres si nombreux que nous ne sommes pas parvenus à contempler la rivière de l’Est bien souvent.
Merci à Randopitons pour cette belle découverte!

C’était pile ou face aujourd’hui pour entreprendre la remontée du bras de la plaine depuis le Dassy. Le temps est programmé incertain. Un récent éboulis (29/12/23) facilement contournable a conduit le préfet à fermer officiellement le sentier Dassy. Finalement le temps se maintient parfaitement dans les tons gris bleu! Pas une goutte de pluie et du plaisir à nager dans quelques bassins.
Malgré les pluies récentes, aucune difficulté pour remonter le Bras de la plaine… jusqu’au passage névralgique après les orgues puis le goulet d’étranglement étonnamment facilement franchissable (j’ai l’impression qu’un dépôt de limon a remonté le niveau et que l’eau est moins profonde depuis mon dernier passage en hiver pourtant) puis la caverne des hirondelles, soit à 800 mètres environ de la remontée par pont d’Yves. Le courant est trop fort, il faut absolument escalader (la roche est glissante et le devers important) à gauche ou s’aider de la corde pour faire un déplacement latéral qui s’avère difficile si vous n’êtes pas un sportif accompli. Pas de points d’accroche pour les pieds. En temps normal, on peut traverser dans le courant mais aujourd’hui il est vraiment trop fort. Nous avons choisi de ne pas prendre le risque et avons fait demi tour. Environ 6 heures A/R pour cet itinéraire.

Désolée, nous n’en avons pas et sommes sans aucun doute beaucoup moins aguerris que vous. Mais sans doute allons nous nous équiper (ou cesser de commenter si nous préférons éviter les foudres du jugement ! 🙃)

Nous n’avons pas pris le coupe coupe aujourd’hui espérant que le travail de débroussaillage et la trace ainsi laissée par nos amis randonneurs allaient encore nous permettre de passer sans encombre. Ce fut le cas, aucune vraie difficulté de passage, juste quelques éraflures. Prévoir néanmoins de prendre le tracé avec soi pour s’assurer qu’on reste sur la bonne voie, quelques traces en impasse pouvant prêter à confusion. La vigne marronne reprend très vite ses droits dans la première moitié de la montée rendant la progression plus lente, en particulier jusqu’à la première piste forestière des Palmistes. Les fougères sont très hautes et denses en sous-bois de Tamarins. La descente déroule aisément. Nous nous sommes régalés des magnifiques arbres, tamarins, bois de couleurs, Tan rouge de ce parcours. Il nous a fallu 5h30 pour compléter la boucle.