Au départ de l'église, une autre possibilité de rejoindre le chemin des cailles en évitant la route et les cases est de traverser la rue, d'aller jusque sur l'aire de pique-nique (photo 1) et de passer derrière le stade de football (lignes noires de la photo 2). Cela permet de profiter des aménagements faits par les emplois verts.

L'exploration des ravines du chemin des cailles réserve des surprises (photos 3 et 4).

Possibilité de faire le tour de l'ilet à Calebasse (boucle) et de pique-niquer (photo 1). Habitants sympathiques. Ilet aux cases magnifiques (photos 2 et 3).

Pour ceux qui trouveraient l'ascension du piton Morel un peu éprouvante, il y a moyen de rejoindre très facilement le sommet en passant par le village de gueule rouge...

Avant d'entreprendre cette rando, bien lire l'encadré rouge et les commentaires. Pour avoir connu le sentier "en parfait état", ce fut une sacrée déception de constater une telle dégradation (le sentier en bord de rivière - juste après la photo 6 du site - est encombré des 2 côtés) ! Tronçonneuse ou contorsions, tel sera le choix à certains endroits. Cela est bien triste car le bras des calumets et ses nombreux bassins sont charmants.

3 sentiers bien distincts :
- le GRR, véritable 4 voies;
- le hors sentier, qui nécessite absolument la trace GPS;
- et le sentier du retour (de l'arête au GRR), facile à suivre, boueux et glissant.

L'arête justifie à elle seule cette randonnée.
Possibilité de "dépasser" la trace en direction du nez de bœuf.
Escalade déconseillée : on n'est jamais sûr que les prises "tiendront".
Possibilité de pique-nique sur l'arête.
Attention : à certains endroits en bord d'arête, il n'y a rien sous l'herbe !

Une rando à 2 visages :
- de la RD242 à Marla, un sentier de grande randonnée;
- de l'intersection de la ravine au plateau Kerval, un cheminement très différent.
Dans la ravine Kerval, il y a de nombreux cairns et même des cairns à choix multiples. Que vous suiviez les uns ou les autres, ils vous amèneront jusqu'au plateau.

Pour l'avoir fait en 9H45 (toutes pauses et activités comprises), je trouve dommage de faire l'aller-retour dans la journée : ça ne laisse pas suffisamment de temps pour profiter de la quiétude du plateau ni de parcourir Marla.
Je trouve plus judicieux de faire cette rando en 2 jours, surtout si après la rando, vous avez 2h de route à faire pour rentrer chez vous !

Attention à la vache qui n'a qu'une corne : elle est beaucoup moins farouche que ses compagnes. Ne la laissez pas s'approcher de vous, car si vous n'arrivez pas à la gérer, ça peut très mal se passer. Pour info, elle adore le sel et comme notre transpiration en contient, elle est tentée de venir lécher vos mains et avant-bras. Le hic est que sa langue est extrêmement râpeuse ...et comme elle a tendance à insister, ça devient très vite douloureux, surtout si vous avez pris un coup de soleil...

Sentier fréquenté avec signalétique. Compter 30 minutes à partir du dernier panneau. J'ai rencontré des randonneurs qui avaient eu la bonne idée d'apporter un drone pour voir le relief caché par la végétation au point de vue Cap Bouteille.

N'écrasez pas le cresson !

Faite à 90% : TROP difficile d'aller au bout de la trace quand on a le vertige et qu'il y a du vent sur la crête...mais le peu parcouru en valait la peine (photo 1).

Les nombreux passages ont fragilisé les parties terreuses mais de nouvelles cordes ont été posées pour aider à franchir certains passages avant le col Choupette (photos 2). Sur la crête, en revanche 2 cordes très utiles ...puis, plus rien (photo 3) !

Ne pas hésiter, au retour, à faire un petit crochet jusqu'au Cap Bouteille (moins d'une heure aller-retour à partir du panneau de la photo 4). Pour avoir une vue plus large et complète que la photo 5, amener un drone.

@Martial : Merci pour les infos. Je "vois" par où vous êtes passés. C'est une zone d'éboulis qui m'a incité à rebrousser chemin...

Le "mur" se trouve un peu avant la fin de la trace de randopitons.

Refaite aujourd'hui en allant à la limite ultime de la randonnée (photo 1)

Le profil ne ment pas : la montée est constante dès le début.

Prudence à partir de la photo 2....qui justifie la photo 3 (ou pas).

A Christian L : A partir du cairn du discret sentier qui permet d'accéder à la cascade Pitsa, faut-il monter ou descendre ? (photo 4)

A Martial : Auriez-vous escaladé le "mur" de la photo 5 pour aller jusqu'à la cascade Pitsa ?

Retentée aujourd'hui et effectivement faisable en 2h si on connait les passages et qu'on ne prend pas de photos.

N'ayant pu faire les derniers mètres en rive droite (les "prises" ne sont pas solidaires du bloc, ce qui est un peu gênant pour escalader une paroi semi verticale), j'ai monté la toute dernière partie en rive gauche et suis allé un peu plus loin que la trace (étoile rouge de la photo 1).

La partie délicate se trouve là où j'avais arrêté la dernière fois (photo 2 du commentaire précédent). Il se trouve qu'une des 2 cordes indispensables commence à s'user (photo 2).

Je confirme : pour que le site soit éclairé, il faut attendre l'après-midi...et que les nuages aient eu la bonne idée de ne pas s'inviter (photo 3).

Avis aux arachnophobes : il y a de nombreuses bibes jaunes et rouges, parfois sur le trajet (notamment au niveau des gros rochers, mais pas que).

Prudence à partir des cordes (pierres instables, glaise et eau qui rendent la roche extrêmement glissante...)

Possibilité, au retour, de continuer sous le petit pont pour découvrir les derniers bassins ainsi que les chutes de l'avant-dernier palier avant le grand saut dans le Bras Rouge.