Le Col Choupette par le Taibit, Marla et le Plateau du Kerval

Difficulté
Très difficile
Indice de confiance Moyen
1-Excellent: Toujours correct : j'y vais sans réfléchir, même seul.

2-Bon: Petite vérification avant de partir. Mini-problème possible sans danger : j'y vais aussi sans réfléchir, même seul.

3-Moyen: Quelques fermetures récentes, climat incertain de la région. Boue, herbes hautes et mouillées, glissades possibles, etc. J'étudie, je me renseigne avant le départ, mais j'y vais.

4-Faible: Souvent fermé, des critiques fréquentes, une végétation non domestiquée. Dangers possibles. Coupe-coupe ou corde dans le sac. À réserver aux initiés. Enfants à la maison. Ne jamais partir seul.

5-Danger/Médiocre: Trop de problèmes partout : végétation invasive, fermeture officielle, difficulté importante, sentier marron difficilement réhabilitable, éboulis, zone infrachissable, guide nécessaire, privatisation d'un passage, etc. À réserver aux aventuriers ou habitués de la découverte très sportive. Il y a d'autres circuits à effectuer avant. Je n'y vais pas.
Durée 9h
Distance 12.5 km
Type de trajet
Altitude haute-basse 2064 - 1265 m
Dénivelé positif 1400 m
Dernière mise à jour 15/02/2023

Il est préférable d'être accompagné d'un guide

Merci à Fanch de nous avoir guidés sur ce parcours d'exception après l'avoir reconnu seul sur des précisions apportées par Martial qui avait étudié le parcours ouvert par Pascal Colas pour rejoindre le col Choupette. Bravo pour l'exploit sportif en solitaire et pour avoir découvert les quelques cm les plus importants de la boucle ; ceux qui permettent d'emprunter le dernier rempart vers le Col Choupette.
RAPPEL : Une fiche de Randopitons n'est en aucun cas une incitation à parcourir le trajet proposé. Cette boucle très difficile ne s'adresse qu'à une minorité de randonneurs, ceux habitués aux hors sentiers, très fortes pentes, câbles verticaux et précipices. Il est préférable d'avoir parcouru la centaine de propositions "aventure" de ce site avant de se lancer ou préférer l'accompagnement d'un guide habitué à ce genre d'exercice. Les explications ci-dessous manqueront volontairement de détails afin de n'inciter personne à tenter l'aventure sans un entraînement conséquent.

La montée à la Crête des Salazes à partir du sentier de Cap Bouteille est presque devenue un classique demandant cependant un bon entraînement pour affronter la rude montée technique ainsi qu'une absence totale de vertige pour atteindre le pied des Trois Salazes. Un passage reconnu sur l'autre versant par Pascal Colas débute au Kerval (souvent appelé Kelval) et rejoint le Col Choupette après la traversée d'une magnifique forêt totalement envahie par les barbes de Jupiter. Quelques câbles et cordes sécurisent les passages les plus délicats. La boucle est courte mais comporte deux fortes montées qui portent à 9 heures sa réalisation. C'est tout d'abord la montée tout en lacets vers le Col du Taïbit puis celle plus chaotique vers le Plateau du Kerval avant d'entamer celle, plus aléatoire, vers le Col Choupette. Ne pas hésiter à rebrousser chemin à la mare du Kerval si la pente paraît trop forte ou si la météo se gâte. La boucle est même envisageable en deux jours avec un bivouac parmi les vachettes du plateau qui viendront renifler bruyamment en pleine nuit en effrayant peut être les dormeurs. Ne pas oublier une quantité importante de boisson même si des sources ou points d'eau sont répartis tout au long du parcours.

La randonnée débute à la route de l'Îlet à Cordes par la très classique montée du GRR1/2 vers le Col du Taïbit. Sans échauffement, inutile de partir trop vite pour cette longue ascension parfois technique. Les marches succèdent aux marches tout comme les lacets aux lacets avec deux seuls endroits plus plats vers l'Îlet des Salazes et la Plaine aux Fraises (Photo 1). Ce sentier très fréquenté est une entrée prisée pour pénétrer dans Mafate par le Sud. En garder dans les jambes pour la descente vers Marla et la remontée au Kerval. Deux heures après le départ, on s'approche du col pour bénéficier des premiers panoramas sur Mafate à partir du promontoire (Photo 2). Peu de changements pour la descente qui emprunte également de nombreux lacets et quelques belles pentes (Photo 3). Des portions glissantes et un peu vertigineuses se passent avec précautions et l'on parvient en 45 minutes aux premières cases de Marla à plus de 1600 m d'altitude. La traversée de l'îlet verdoyant s'effectue en légère descente facile en passant près de quelques vaches, de chèvres attachées, de gîtes et d'épiceries où il est possible de se ravitailler. Ne pas manquer le troupeau de biches aux alentours de la chapelle avant de parvenir à la Ravine Kerval (Photo 4). Le sentier débute en rive droite dans le sous-bois, quelques mètres après la ravine. Très vite, la pente s'accentue et les roches encombrant le fond de la ravine servent de hautes marches (Photo 5). Pas de sentier officiel mais des traces de passage et des petits cairns permettent de rassurer sur l'itinéraire. Après le franchissement d'une vieille porte en bois délabrée empêchant le bétail de s'échapper, poursuivre vers le plateau dans la ravine ou sur ses berges (Photo 6). Ne pas chercher à quitter le lit tant que les cairns ou la disposition du terrain facilitent la montée (Photo 7). Les 200 m de montée se terminent sur un sol plus dénudé où bouses et empreintes de sabots confirment que le plateau est habité par les bovins (Photo 8). On bénéficie de quelques panoramas en direction du cirque pour apprécier le chemin parcouru (Photo 9). Le paysage de cette zone de pâturages d'altitude est magnifique avec les trois Salazes qui dominent toute la région (Photo 10). Marcher dans la prairie caillouteuse en direction du rempart. Le Gros Morne domine également tout le plateau recouvert par endroits de magnifiques tamarins des hauts (Photo 11). Le sol est un peu vallonné, couvert par endroits de roches ou de tamarins (Photo 12). On atteint très facilement la mare abritant quelques petits poissons et servant d'abreuvoir au troupeau de vachettes vivant dans ces lieux (Photo 13). L'endroit est charmant sous le soleil (Photo 14). Il attire fréquemment les campeurs venant y passer une nuit. Les vachettes vivent ici paisiblement en profitant de l'herbe rase. On peut les approcher sans grand danger à condition de ne pas les effrayer par des gestes brusques (Photo 15). Un rocher isolé permet de profiter de ce coin bucolique en reprenant des forces avant d'entamer la montée au rempart (Photo 16). C'est de ce rocher que l'on a le meilleur angle pour apprécier la suite du trajet qui débutera près de la petite cascade alimentant le lac (Photo 17). Se diriger vers la fine chute puis obliquer à gauche vers la ravine presque à sec venant du rempart. Pas de sentier à cet endroit. Il faut choisir le meilleur passage entre les roches et surtout les jouvences qui recouvrent le sous-bois, cachant quelques pièges entre les pierres (Photo 18). La solution la plus facile consiste à suivre cette ravine au plus près, soit le long des rives soit en empruntant le fond moussu et glissant (Photo 19). En marchant plein est pour se rapprocher du rempart, on parvient facilement sur de vastes pierriers moussus où poussent de magnifiques bois de couleurs dont mahots, mapous et bois de nèfles (Photo 20). Les jouvences sont petit à petit remplacées par le persil et pourpier marrons, fraises d'lo ou des bois, oseilles sauvages ou chasse vieillesse (Faujasia salicifolia). Les barbes de Jupiter ont envahi toutes les branches (Photo 21). Le sol se dénude graduellement à l'approche des falaises constituées d'orgues basaltiques (Photo 22). Il est surtout constitué d'un immense pierrier moussu assez stable. Suivre longuement la falaise entre hautes roches et bois de couleurs (Photo 23). Si jusque là la montée était un hors sentier technique, la suite est autrement plus sportive, tant pour les bras que pour les jambes. Ne pas manquer l'étroit passage à la fin de la falaise verticale pour s'en échapper. La rude grimpette sur un sol recouvert de jouvence doit se pratiquer avec beaucoup de prudence jusqu'à une première corde vieillissante (Photo 24). Plus haut un câble en acier rassure pour franchir un passage vertical barré par un énorme arbre mort. L'effort est intense pour y parvenir et le passage étroit entre tronc et roche pour passer corps et sac à dos. Une corde apportée pour l'occasion peut aider à monter le sac une fois l'écueil franchi. L'arête approche et les panoramas sur le plateau du Kerval se multiplient (Photo 25). Ne jamais baisser la garde pour les derniers franchissements parfois étroits et dominant le vide. L'effort est récompensé en franchissant les branles moussus bordant l'étroite arête des Salazes (Photo 26). La montée prend fin à quelques mètres d'une dent rocheuse repérée depuis le rocher dans la prairie des bovins 300 m plus bas (Photo 27). Les difficultés ne sont pourtant pas encore terminées car il faut affronter la rude descente vers le sentier de Cap Bouteille. La pente y est très forte, les roches glissantes mais quelques cordes facilitent des passages (Photo 28). Après tous ces efforts, la pente paraît interminable mais on parvient enfin au sentier de Cap Bouteille qui semble une autoroute après ces trois heures plus aventureuses. Partir sur la droite puis poursuivre sur les roches glissantes jusqu'à un bois d'eucalyptus juste avant de rencontrer le GRR1. Le large sentier caillouteux tout en lacets pris le matin paraît une balade pour rejoindre la route de l'Îlet à Cordes.

Profil

Plan de l'itinéraire

Pique-nique  Tables à pique-nique, en partenariat avec Carte de La Réunion.

Itinéraire

Se rendre à Cilaos et poursuivre vers l'Îlet à Cordes jusqu'au départ du sentier du Taïbit - Entamer la montée au col puis redescendre vers Marla - Traverser l'îlet et poursuivre vers Maison Laclos - Suivre la Ravine Kerval pour atteindre le plateau - Trouver le bon passage pour attaquer le rempart des Salazes afin d'atteindre la crête au Col Choupette - Redescendre vers le Cap Bouteille puis bifurquer à droite plus bas vers le GRR1 - Partir à gauche sur le GR et revenir au point de départ.


Commentaires sur cette randonnée (20)

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Guitousw, 19/09/2024 17:03

Randonnée effectuée le 17/09/24 en 5h avec un détour jusqu'au pied des trois Salazes. Randonnée "évidente" jusqu'à Kerval et puis un peu laborieuse au niveau de l'orientation pour monter jusqu'au pied du col. On a suivi la trace GPX comme indiqué sur le topo et ça a fini par faire plutôt bien, avec quelques hésitations et détours mais dans l'ensemble tout s'est bien passé. La montée avec les cordes (et câbles) s'est effectuée sans soucis et la fin du chemin reste tout de même assez délicate, il faut donc rester vigilent.
Nous sommes deux traileurs et grimpeurs donc le temps indiqué et la difficulté pour les cordes n'est pas à prendre à la légère et faire demi tour arrivé au pied de la falaise ne donne pas vraiment envie, donc prenez bien garde à ne pas vous engager dans quelque chose de trop dur pour vous.
Merci pour le topo et la belle découverte !

Ti Canary, 08/08/2024 15:58

@PololeSolitaire, chez moi dans les lointains terres des îles Canaries on appelé a ce genre de mission du "risqueo" qui vient du mot "risco" ou falaise. Et ça vient d'écrire exactement ce genre d'activité. Pas assez technique pour être de l'alpi mais définitivement plus que une rando technique.

Je diras que l'utilisation du terme alpinisme tropical est plutôt satisfaisant

On se retrouve dans la vertical 😜

Martial, 21/07/2023 09:09
Randonnée complétée le 19/07/2023

Variation sur le même thème
Randonnée en terrain d’aventure ; si vous trouviez que la boucle présentée ici était difficile, ne vous aventurez pas sur celle-ci.
Cette boucle présente une autre manière de descendre vers le plateau du Kerval ; par un autre endroit, en l’occurrence, depuis le pied des trois Salazes. La montée est également envisageable par le bas, et sera surement plus facile qu’en descendant, à condition toutefois de trouver les 1ères cordes.
Je pense que nos amis Smilax et Polo le solitaire ne vont pas tarder à expérimenter.
Si vous le tentez en descente, comme nous, il faut se rendre au bout de l’arête, au col du terminus, soit au pied des Salazes, descendre dans la végétation pour trouver les cordes, qui vous permettrons de descendre au pied du rempart.
Certains le font sans matériel, nous avions ce qu’il fallait et nous sommes donc descendus équipés ; les cordes en place sont suffisamment lâches pour y installer son descendeur.
Nous avons tenté de longer le rempart afin de ressortir par le passage décrit sur cette fiche et rejoindre ainsi le col Choupette ; ce n’est pas une bonne idée, le terrain est extrêmement difficile, la progression est énergivore et prend beaucoup de temps ; de plus, n’ayant pas pu passer une grosse barre rocheuse, nous sommes redescendus instinctivement au niveau de la 2ème source, vers le plateau. La brume ayant fait son apparition, nous déciderons de rentrer par Marla et le col du Taïbit.
Pour ceux qui voudraient tenter la sortie par le col Choupette, je conseillerai, une fois arrivé au pied du rempart, de rejoindre au plus direct vers le plateau et de remonter après la mare en suivant la trace de la fiche.
Sinon, nous sommes très satisfaits de cette sortie, car cela en fait une boucle complètement inédite dans le domaine de la randonnée.

Smilax, 01/07/2023 20:26
Randonnée complétée le 02/07/2023 en 8h30

De retour pour une troisième fois sur ce parcour, pas de grand changement hormis les jouvences qui ne cessent de grimpée (au alentour d'un mètre de haut par endroit) cela rend la monter un peu plus hasardeuse.
Le sentier qui longe le rempart a casiment disparu

Christian L, 05/04/2023 14:57
Randonnée complétée le 28/05/2022 en 9h20

@ Polo le solitaire …Grand merci et bravo pour votre joli commentaire détaillé qui correspond tellement à ce que j’ai vécu en juin 2022 ! Relire mon long commentaire du 17/06/22. A faire absolument …mais en connaissance de cause puisque ce n’est plus une rando sans être de l’alpinisme ….moi non plus je n’ ai pas encore trouvé le mot qui convient à ce genre d’aventure. Au passage merci pour le commentaire sur le sentier des Citernes…qui vaut lui aussi son pesant d’or !

Polo le solitaire, 05/04/2023 12:08
Randonnée complétée le 05/04/2023 en 6h30

Ceci n'est pas une randonnée, je pense qu'il faudrait inventer un mot pour ce genre de sortie qui n'est pas encore de l'alpinisme mais qui n'est clairement plus de la rando au sens propre du terme. Nous l'avons faite avec mon dalon Smilax. La balade est simple jusqu'au plateau de Kerval, ou du moins, si vous trouviez déjà cette randonnée difficile ou technique, je ne peux que vous conseiller de faire demi-tour, car la suite est dantesque et surtout, comporte un point de non-retour. Ainsi, lorsque vous arrivez à Kerval, prenez le temps de vous assurer que la météo est correcte et le sera pour les 2 prochaines heures. Rebroussez immédiatement chemin si la pluie est de la partie ou si les nuages commencent à recouvrir la crête des 3 salazes. Assurez-vous également d'avoir les réserves physiques nécessaires à une séance d'escalade, et bien entendu, la peur du vide est strictement interdite sur ce parcours. Si les conditions sont réunies, marchez vers la source qui descend du rempart et traverser le ruisseau qui en découle. Bien suivre la trace préalablement téléchargée via randopitons et entrer dans le sous bois. Suivre la trace laissée au sol par les quelques marcheurs courageux mais ne pas non y faire 100% confiance : il y a plusieurs traces autour de la trace principale. Il est donc toujours bon de garder un oeil sur la trace gps afin de rester au plus près possible du parcours. Après une courte montée dans les jouvences, on arrive à une petite ravine moussue. Traverser cette ravine puis monter vers la droite. À ce moment, l'orientation est douteuse et on vite fait de s'éloigner du parcours. En arrivant à une 2e ravine moussue, il faudra cette fois la remonter sur quelques mètres avant de repartir sur la droite. Ne pas forcément chercher à monter droit vers le rempart car vous risquez, comme nous, d'arriver trop à gauche et de ne pas pouvoir suivre le rempart. Le repère est un aplomb rocheux, sur le rempart, il faut arriver à la droite de celui-ci. Une fois au pied du rempart rocheux, bien repérer la trace qui longe celui-ci et continuer donc toujours tout droit avec le rempart sur la gauche et le panorama sur Kerval et le cirque de Mafate sur la droite. Nous arrivons bientôt au point de non-retour mentionné plus haut qui est une portion semi escalade, une petite grimpette de 3-4 mètres avant d'atteindre une corde ainsi qu'un câble de fer, qui marquent le début du passage le plus technique et dangereux de la sortie. La présence du câble de fer rassure car elle permet d'y accrocher une longe. Je conseille donc le port du baudrier à cet endroit. Pas de retour en arrière possible à moins d'être très bon en désescalade, mais je ne conseille à personne de le faire. Le chemin est à pic, vertigineux et la moindre chute sera mortelle. Il faut donc se hisser sur la paroi à l'aide de la corde et des prises assez faciles à trouver. La force des bras est nécessaire pour se hisser avec la corde. Après quelques mètres d'escalade où on peut encore grimper à 4 pattes, on arrive finalement au climax de la sortie, un pas d'escalade presque en dévers où la seule option possible est de se tirer sur la corde à force des bras tout en s'équilibrant avec les jambes sur la paroi. Un gros arbre en fin de montée aide à s'appuyer. Au total, une quinzaine de mètres de dénivelé dangereux dont les derniers 4m très dangereux qui valent à eux seuls un classement ''très difficile''. Une fois ce passage terminé, il reste environ 10 minutes de montée encore technique, mais rien de bien impressionnant si vous êtes déjà arrivés jusque là. Nous avons eu beaucoup de chance hier car une petite pluie a commencé à s'installer 5 minutes après notre arrivée au col Choupette, se transformant petit à petit en pluie torrentielle qui nous a accompagné pendant toute la descente vers Cilaos. Une sortie à réserver donc aux plus téméraires (et peut-être un peu fous) qui aiment se surpasser. Si ce n'est pas votre cas, vous pouvez toujours bénéficier du point de vue du col Choupette en empruntant le sentier qui monte depuis le cap bouteille. C'est un sentier technique et assez difficile mais croyez-moi qu'il m'a semblé être une promenade de santé comparé à ce qu'on venait de faire, même avec la forte pluie. Ne surtout pas descendre ce passage, les 15-20m à pic ne sauraient être descendus autrement qu'en rappel.

pireclo, 30/12/2022 00:00

11/12/2022 en Solo
Jolie boucle au départ du sentier de marla à la journée

Arrivé à kerval une orientation désordonnée m a conduit au pied du rampart à l aplomb des salazes
pour remonter directement au Col du Terminus 🙃.

Se retrouver dans le rempart et progression à vue vers ce col.

C est assez stylé comme passage mais j ai bien aimé.

Puis traversée de l arrête des funambules vers le pic mikado pour ensuite effectuer la descente assez facilement.

Walking Dog 974, 27/12/2022 09:22
Randonnée complétée le 28/05/2022 en 9h00

@Clabi : je comprends tout à fait votre besoin de détails, mais l'encart rouge indique bien le choix de l'auteur de ne pas tout détailler justement. Tout cela pour éviter que les randonneurs se jettent précipitamment sur ce parcours dangereux et le regrettent ensuite. De plus, ayant pratiqué quelques boucles du même genre, je peux dire qu'il y a toujours une petite part d'inconnu et /ou d'imprévu qui crée un écart (même minime) entre la fiche et la réalité. Mais c'est normal, cela fait partie du jeu sur ce type de sortie..bonnes randonnées à vous.
..

Clabi, 27/12/2022 08:11

Nous avons bien pris connaissance de la fiche au préalable, mais apporter quelques détails en plus pour ce type de parcours n'est pas de trop^^

Martial, 26/12/2022 21:13
Randonnée complétée le 19/07/2023

@Clabi, avez vous lu l'encart rouge en début de fiche ? Tout est dit.

Randonnée ajoutée le : 01/06/2022