Le tour des Pentes de Grand Coude par les trous de Cissia

Difficulté
Difficile
Indice de confiance Moyen
1-Excellent: Toujours correct : j'y vais sans réfléchir, même seul.

2-Bon: Petite vérification avant de partir. Mini-problème possible sans danger : j'y vais aussi sans réfléchir, même seul.

3-Moyen: Quelques fermetures récentes, climat incertain de la région. Boue, herbes hautes et mouillées, glissades possibles, etc. J'étudie, je me renseigne avant le départ, mais j'y vais.

4-Faible: Souvent fermé, des critiques fréquentes, une végétation non domestiquée. Dangers possibles. Coupe-coupe ou corde dans le sac. À réserver aux initiés. Enfants à la maison. Ne jamais partir seul.

5-Danger/Médiocre: Trop de problèmes partout : végétation invasive, fermeture officielle, difficulté importante, sentier marron difficilement réhabilitable, éboulis, zone infrachissable, guide nécessaire, privatisation d'un passage, etc. À réserver aux aventuriers ou habitués de la découverte très sportive. Il y a d'autres circuits à effectuer avant. Je n'y vais pas.
Durée 5h30
Distance 9.6 km
Type de trajet
Altitude haute-basse 1669 - 1170 m
Dénivelé positif 680 m
Dernière mise à jour 04/09/2023

L'Europe s'engage dans les zones rurales ..... en installant des panneaux !

La descente à partir du rocher est devenue impossible à effectuer en raison des longues vignes marronnes. Faire demi-tour au rocher du point de vue ou laisser de côté cet ancien très beau parcours.

Ce circuit, qui reprend deux itinéraires déjà présentés pour faire le tour de Grand Coude et se rendre aux Trous de Cissia, offre aux randonneurs une nouvelle idée de boucle un peu sportive mais qui permet de traverser une magnifique forêt semi-primaire et admirer la région par de superbes panoramas. La boucle est courte, ne comporte pas de montées abruptes malgré quelques raidillons, présente des portions très glissantes dans la descente du rempart de Grand Pays et utilise un peu de route bétonnée qui n'enlève rien au plaisir de marcher dans les prairies. Malgré tous ces avis sur le mauvais état du parcours, on voit que le sentier est fréquenté. La végétation a certes repris ses droits mais jamais sur le sentier. Quelques coups de sabre ont augmenté la largeur du passage, mettant d'ailleurs à mal les sabres péi Machaerina iridifolia (paille sabre, sabre marron) Cyperaceae -Endémique des Mascareignes dans la descente où ils foisonnent. Il est regrettable d'arriver au kiosque après plus de 2 kilomètres de montée envahie par les herbes et les plantes et de trouver un panneau qui semble avoir été installé il y a deux heures tellement il est neuf et de remarquer que rien n'est entrepris pour de quelconques nettoyages. Comme un des panneaux précise que "le Département valorise les forêts de la Réunion", ceci explique peut-être cela : il est vrai qu'en fermant la totalité des sentiers de randonnée, peut-être les forêts seront-elles mieux préservées puisque plus personne n'y aura accès ! Alors pourquoi le panneau ?

La randonnée débute au classique parking situé un peu plus haut que l'église du village. La piste d'atterrissage existe toujours mais ne semble pas servir tous les jours. L'herbe est déjà haute et mouillée le matin. Au rempart, désormais bouché par les plantes, plus de panorama sur la Rivière des Remparts pour admirer la vallée. La montée débute à droite en suivant un sentier un peu rétréci par la végétation, dont une zone de vigne marronne. La piste qui descendait en bordure de prairie est recouverte d'herbe mais le cheminement des randonneurs se voit très bien. Plus loin, la montée s'effectue sur une multitude de marches en rondins avec deux petits raidillons un peu plus raides que la moyenne. La végétation est importante mais le sentier facile à suivre (Photo 1). On parvient en une vingtaine de minutes de montée au kiosque et à ce super panneau. Un petit coup d'œil en passant au sentier de découverte permet de voir qu'il est beaucoup moins fréquenté que celui partant vers la gauche en direction du Morne Langevin . Partir sur la droite et longer le sentier encore visible sur de nombreuses portions (Photo 2). Ce coupe-feu rectiligne ne remplit plus depuis très longtemps son rôle de coupe-feu ; il semble même idéal pour le propager par la multitude de plantes qui l'on envahi ! Le sentier ne se perd jamais malgré son étroitesse par moments. Après une longue portion agréable et quasiment plate, il commence à monter parfois fortement et ne redescend que pour franchir des petites ravines au sol glissant (Photo 3). L'une d'entre elles, plus profonde, comporte une longe échelle de très bonne qualité (Photo 4). La forêt, de chaque côté, est idéale pour une leçon de botanique car on côtoie presque toutes les espèces, endémiques, exotiques ou invasives de ces altitudes. Vers la fin de cette longue ligne droite un peu aventureuse, on profite de rares points de vue dans les trouées de la végétation en direction de Grand Coude, Jean Petit ou Saint-Joseph (Photo 5). Compter près de 90 minutes pour rejoindre le rempart opposé. Durant cette traversée rectiligne, on rencontre deux sentiers partant sur la droite, qu'il faut délaisser. Comme pour le tour de Grand Coude, le seul but à atteindre pour ne pas s'égarer est l'éperon rocheux, étroit et vertigineux, qui permet de sublimes points de vue sur Grand Pays (Photo 6). Il ne faut donc jamais quitter cette trace tant qu'on n'a pas rejoint le rempart. L'éperon s'atteint après une marche de quelques dizaines de mètres le long de la falaise protégée du vide par les branles verts. Par beau temps, c'est l'endroit idéal pour se reposer de la traversée du coupe-feu. Le rempart se poursuit sur la gauche en direction du Morne Langevin (Photo 7). Les panoramas sur Saint-Joseph ne sont plus bouchés par les arbres et brandes (Photo 8). Le sentier qui redescend à Grand Coude est impossible à manquer puisqu'il passe sur cet éperon. C'est presque un GRR entre les branles verts qui le bordent (Photo 9). Plus bas, le sentier, bien que rétréci par la végétation se perd difficilement mais il faut rester vigilent tout de même (Photo 10). Il comporte des parties plates (Photo 11) et quelques pentes fortes qui sont souvent très glissantes. Le mieux est de se maintenir aux plantes, dont les sabres omniprésents. Nous avons réduit pour un temps la longueur des vignes marronnes rencontrées mais il faut quand même se baisser ou enjamber les troncs d'acacias tombées lors de cyclones. Là aussi, il faut près de 90 minutes pour atteindre la route, cachée par de hautes cannes fourragères (Photo 12). Partir vers la droite sur cette route bétonnée qui chemine dans les prairies durant 1800 mètres pour un vrai moment de repos avec des vues sur toute la région (Photo 13). La région est surtout constituée de pâturages et de quelques cultures (Photo 14). Poursuivre la traversée du plateau entre broussailles, prairies, bois de filaos et vues sur Grand Coude (Photo 15). Ne pas manquer le sentier qui part sur la droite après un oratoire et rejoint les Trous de Cissia par des dents de scie également envahies de végétation dont un ancien champ recouvert de vigne marronne (Photo 16). Ne pas oublier le coupe-coupe pour éviter les griffures désagréables. Le sentier, assez fréquenté, comporte de belles portions entre les bois de couleurs et les fougères (Photo 17). Quand les jouvences s'en mêlent, le passage est bouché mais le sentier se devine aisément (Photo 19). Au premier croisement, prendre à droite et rejoindre en une minute le bord du Grand Trou puis descendre au fond du maar Un maar est un cratère volcanique d'explosion créé par la lave entrée en contact avec une nappe d'eau marécageux qui comporte un puits entouré d'une murette dans les joncs et oseille sauvage (Photo 20). Profiter de la vue sur la forêt de bois de couleurs qui tapisse ses flancs (Photo 21) avant de remonter et rejoindre le sentier du rempart sur une très agréable trace (Photo 23). Reprendre le sentier employé en début de boucle en sens inverse (Photo 25). Poursuivre tout droit et retrouver les branles verts dévorés par la végétation (Photo 27) et les hautes herbes où il faut chercher la trace des yeux (Photo 28). La descente, moins humide depuis que la rosée s'est évaporée, s'effectue rapidement jusqu'au parking.

Balises

Pas de balise

Profil

Plan de l'itinéraire

Pique-nique  Tables à pique-nique, en partenariat avec Carte de La Réunion.

Itinéraire

Se rendre à Saint-Joseph et prendre la déviation - A la fin de la déviation, prendre la direction de Jean Petitb puis de Grand Coude - Rouler jusqu'à Grand Coude et obliquer au premier croisement à gauche vers l'église - Passer l'église et se garer sur le parking un peu plus haut - Débuter en rejoignant le rempart et prendre à droite le sentier remontant aux trous de Cissia et au kiosque - Laissser à droite le sentier des Trous de Cissia et poursuivre jusqu'à la pancarte de l'Europe qui s'engage - Partir sur la droite et longer la totalité du coupe-feu jusqu'au rempart - Au rempart, descendre en le longeant jusqu'au Chemin de Géraniums qu'on emprunte par la droite - Marcher jusqu'à un oratoire rouge sur la droite de la route - Prendre, aussitôt après, dans le virage, le sentier des Trous de Cissia - Rejoindre le premier maar et revenir sur ses pas pour reprendre à droite la suite du sentier - Au croisement du sentier pris à l'aller, bifurquer à gauche et rejoindre la parking.

Formation d'un maar

Les deux trous de Cissia, au même titre que les Trous Blancs et le Cratère de Commerson (265 m) sont catalogués comme des maars.
Un maar est un cratère volcanique d'explosion, parfois rempli par un lac ou envahi par la mer, ce qui n'est pas le cas de ceux de la Réunion. Il s'agit d'une forme de destruction par l'activité volcanique. Le Piton de l'Eau, quant à lui, est issu d'une forme différente de volcanisme.
Pour les maars, le phénomène est le suivant : le magma, en remontant vers la surface, rencontre dans le sous-sol une nappe phréatique ou un cours d'eau souterrain. Une partie de cette eau se vaporise alors sous l'effet de la chaleur, ce qui entraîne une importante augmentation de la pression dans le sous-sol, au point que les roches en surface sont soudain éjectées à la manière d'un bouchon de champagne. Généralement, la nappe phréatique ou le cours d'eau souterrain qui a contribué à la formation du cratère alimente ensuite un lac dans le bassin ainsi créé. Les maars sont donc très souvent des lacs de forme circulaire aux pentes plus ou moins abruptes. A Cissia, pas de lac mais des parois très verticales. Grand trou est beaucoup plus évasé.
Source : Wikipedia

Comment ne pas manquer le sentier de descente

Une reconnaissance récente de ce circuit a permis de constater que plusieurs sentiers avaient été créés à force de petites erreurs d'aiguillage. RAPPEL : A la fin de la ligne domaniale venant du kiosque, on franchit une petite ravine assez profonde. Il faut remonter la pente assez rude et poursuivre sur le sentier qui fait un coude vers la droite en se rapprochant au plus près du rempart. Ne pas chercher à tourner à droite tant qu'on a pas atteint ce gros caillou à l'arête assez vive qui siège au milieu du sentier (Photo 1). Ne pas tourner à droite avant ce caillou (trait rouge) mais remonter pour atteindre le rocher dénudé entouré de branles verts (trait bleu). De ce rocher, on a un panorama de 160° sur Saint-Joseph et Grand Coude (vignette de la photo 2). Tant qu'on n'a pas admiré ce panorama, on ne réfléchit pas. Après le panorama, poursuivre dans la même direction vers le Chemin des Géraniums en longeant, au début, au plus près du rempart.


Commentaires sur cette randonnée (18)

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Suepairpiénu, 14/03/2023 20:13

Un peu moins de 2h du parking au rocher glissant (photo 1).
Retour en PGHM (merci à eux !) : le sentier de bord est obstrué par des arbres couchés, du bois mort et la dernière partie est envahie de vigne marron. Même avec des gants et un sabre efficace, je ne suis pas venu à bout des 100 derniers mètres avant de rejoindre la route...après 3h de coupe intensive !
Les photos 2 et 3 donnent une idée de l'étendue qu'occupe la vigne. A faire plutôt en aller-retour du parking au rocher.

Martial, 27/09/2021 17:39
Randonnée complétée le 24/03/2016

@EveA974, attention à celle là, le pghm s'est déjà déplacé plusieurs fois dans la zone pour récupérer des randonneurs isolés; préparez bien votre sortie, lisez la fiche et tous les commentaires, regardez bien les points particuliers et tout devrait bien se passer. Un sabre dans le sac pourra être utile au cas ou. Bonne sortie.
Le sentier dont vous parlez est certainement celui qui monte au Morne Langevin que vous pouvez empruntez sans crainte. Sorite 1214 ou 1385.

EveA974, 27/09/2021 11:52

Bonjour à tous. Est-ce ce sentier qui a ère récemment réhabilité pour être praticable ? Merci par avance pour vos réponses.

JP Goursaud, 12/07/2021 10:46

Sandrabidon : Le fond de Grand Trou est bien trop envahi pour bivouaquer sereinement. Je vous conseille plutôt le kiosque un peu plus haut ou près de la vierge.

sandrabidon, 12/07/2021 08:08

Bonjour, nous aimerions dormir sur place avant de pratiquer la randonnée du sentier marron réhabilité. Pensez-vous que l’on puisse bivouaquer a l’intérieur du Grand Trou ? Ou à proximité ? En vous remerciant beaucoup par avance pour vos réponses.
SB

Martial, 03/01/2020 14:03
Randonnée complétée le 24/03/2016

@Agathocle, votre aventure s'est bien terminé et c'est tant mieux; vous avez su faire votre méa culpa, je rajouterai seulement, qu'il est impensable de partir en randonnée à 11h du matin, sauf si on se rend au stade municipal.
La randonnée est estampillée "difficile" avec un indice de confiance moyen, l'encart vert au début de la fiche vous indique que lorsque nous y sommes retournés pour constater l'état de cette randonnée, nous étions 4, chacun munis d'un sabre, cela aurait pu vous mettre la puce à l'oreille et vous inciter à une préparation minutieuse, avec un minimum d'équipement; et comme vous le précisez les commentaires, qu'il faut lire, sont une source précieuse de renseignements à ne pas négliger.
Votre récit m'a en tout cas donné une furieuse envie d'y retourner, et je me ferai une joie de vous y accompagner si vous le désirer.

Agathocle, 03/01/2020 11:51

Nous avons fait cette "randonnée" le 2 janvier. Mal nous en a pris.
Nous avons démarré la randonnée vers 11h, confiant dans la durée annoncée, et ayant pris une marge de manoeuvre. Mais nous avons fait plusieurs erreurs dont nous devions nous rendre compte plus tard : pas de frontale, seulement un sur deux qui avait pris un Kway, et sous-estimation du mauvais temps malgré que le site meteofrance.re eût affiché un "soleil" entouré de quelques nuages.
Au départ, un panneau explique que la randonnée est fermée. Nous aurions du écouter cet avis, mais, sur la base des avis de ce site assez optimistes et de quelques promeneurs redescendants des trous de Cissia nous disant que tout allait bien, nous nous engageons. Arrivés au kiosque, nous partons sur la ligne droite du coupe feu, et les choses commencent à se corser à partir de la fin du premier tiers quand nous commençons à traverser les ravines. Pierres glissantes, sol qui se dérobe, .. nous finissons par grimper et descendre à quatre pattes les passages les plus délicats, mais n'évitons pas quelques glissades et chutes, heureusement sans blessure.
Arrivés péniblement au bout de la ligne droite, nous pensons avoir fait le plus dur. Nous nous trompions. La descende le long du "rempart" est en fait très difficile de par la végétation et le sol détrempés qui nous font chuter plusieurs fois, mais le plus compliqué est le "chemin" lui-même. Il n'existe plus parfois que sous les feuilles et les troncs, et il est donc facile de le perde. Nous nous engageons même à un moment vers la gauche sur une pente qui était en fait une pente du rempart lui-même, dont la relative douceur nous a trompé.. heureusement, le GPS devait nous indiquer que nous prenions la mauvaise direction et nous remontons avant de retrouver péniblement le chemin. Après cela, nous progressons régulièrement malgré les difficultés de la végétation, mais arrivés à la côte 1360, alors qu'il ne reste que 350m avant d'atteindre la route, le chemin disparait. Nous tentons de contourner ce qui ressemble à un éffondrement, en passant au dessus, en revenant sur nos pas et en essayant de couper vers la ravice "Ti bon Dieu". Peine perdue, la végétation est ici inextricable, enchevêtrement d'arbres tombés, et parsemée de ronces. Nous avons perdu énormément de temps dans cette recherche d'un passage, et y avons laissé beaucoup d'énergie, sans parler de la pluie permanente. Nous envisageons de rebrousser chemin, mais n'avons plus qu'une heure et demi avant la nuit, soit l'assurance de finir dans la nuit, sans frontale, ce qui, dans les passages des ravines, est l'assurance de se blesser et de se perdre. Nous envisageons de dormir sur place sous la pluie, mais ne sommes pas certains qu'avec la nuit difficile qui s'annonçait, nous soyons en mesure de pouvoir revenir le lendemain. Nous avons donc appelé les pompiers qui nous ont mis en contact avec le PGHM. Ceux-ci ont d'abord tenté de nous guider, mais après avoir constaté que cela ne menait à rien, ils nous ont envoyé un hélicoptère. Celui-ci est arrivé 20 minutes après, nous a géolocalisé, et nous avons été hélitreuillé. je précise au passage que j'ai été impressionné par le professionnalisme de ces gendarmes. Ils nous ont certes fait la morale, et ils ont eu raison, mais grâce à eux, nous sommes sortis de cette difficile passe..

Que retenir de cette mauvaise expérience :

- ne jamais partir sans frontale ni équipement pour se protéger de la pluie
- ne pas faire confiance aveugle au site meteofrance.re
- ne pas faire confiance aveugle à randopitons.re (ou alors lire tous les avis)
- ne pas aller randonner en forêt de montagne quelques jours après le passage d'une tempête

Au final, je crois que le site devrait supprimer cette randonnée, ou marquer clairement qu'elle n'est plus praticable, c'est ce qui ressort de notre expérience avec l'arrêt du chemin à la côte 1360. Je laisse en PJ l'image de notre trace GPS (bleu ciel) comparée à la trace GPS théorique de la randonnée (bleu foncé). Vous y verrez clairement les tentatives infructueuses que nous avons faites pour trouver un passage..

Patrickmpp, 14/07/2019 22:16
Randonnée complétée le 10/07/2019 en 5h00

Le temps n'était pas de la partie ce mercredi 10 juillet 2019. De grands nappes de brouillard noyaient la rivière des Remparts et, après la longue traversée de la belle forêt, arrivés à l'éperon rocheux, le brouillard nous a caché le panorama. Faute d'avoir bien lu la fiche, nous avons raté le chemin de descente et sommes descendus dans la forêt avant de faire demi-tour. Une très belle randonnée que nous referons dès que possible afin de boucler la boucle!

Willy Leplunul, 20/04/2019 11:34

Un vieux et bon souvenir que cette sortie , réalisée avec un spécialiste des sentiers obscurs, il y a quelques années. C'était déjà bien à l'abandon, encombré de branches en tous sens, d'arbres en travers...mais ça rendait l’affaire amusante! Faudrait retourner voir (une fois opérationnel) si ça passe encore.

Christian Léautier, 21/10/2018 09:38
Randonnée complétée le 13/12/2016 en 6h30

Pour GilbertLP dont par ailleurs, j'apprécie beaucoup son commentaire et sa ténacité! Le 16/05/17 j'ai fait cette rando (voir mon commentaire) mais depuis la végétation a peut être changé la donne ! surtout rester à gauche lorsqu'on rencontre des sentiers à partir de la crête et des points de vue au niveau du rempart. Bien visualiser les photos du site avec l'article "comment ne pas manquer le sentier de descente" mais il n'est pas du tout exclu que vous l'ayez fait malgré tout. Vous êtes descendus trop à droite si vous "tombez" sur un bras de la ravine Galand .Bonne rando et cette fois ci joli succès ! j'adore" on ne lâchera pas" !!!! . Et si vous faisiez la boucle à l'envers en partant au niveau de la jonction du sentier lorsqu'il retrouve la route des Géraniums même si les premiers mètres , si ma mémoire est bonne, dans les cannes marronnes ne sont pas très visibles (pile dans un net virage de la route) Après, c'est bon ou à peu près bon ! J'attends impatiemment la fin du récit de votre aventure.....

Randonnée ajoutée le : 25/03/2016